Michael Terraz crée avec le même sérieux qu'un enfant qui joue !
Né en 1976 en Suisse, Michaël Terraz est un multipotentialiste au parcours éclectique ; film, scénario, bande dessinée, illustration, photographie.
Toujours dans un souci d’élargir sa vision, ses compétences et son approche de l’image séquentielle, il fait voyager son imaginaire en utilisant et métissant diverses techniques de réalisation.
En 2013, il travaille sur son premier court métrage de fiction, L’Héritage, un conte fantastique et poétique très ambitieux de 23 minutes mêlant prises de vue réelles et cinéma d’animation (17 Prix à l’international). En avril 2016 il termine son nouveau film, Le Goût des Choux de Bruxelles, une comédie à l’humour doux/amer avec Jean-Luc Bideau, Joséphine Derenne, Pauline Lefèvre et Nicky Naudé (de nombreux prix et un très bel accueil en festival également).
Aujourd’hui Michaël vit à Saint-Mandé (94) et travaille à son premier long métrage, ainsi qu’à l’écriture d’un nouveau court-métrage. Parallèlement Michaël réalise des clips musicaux et dessine le second tome des Extraordinaires aventures de Rose Pom, sa série de bande dessinée ainsi qu'un album "one shot" de 150 pages, LE FAUSSAIRE, avec le scénariste Matz.
ROSE POM - BAROUF INDUSTRIES - Tome 2
Une nouvelle aventure de Rose Pom pour parler de problématiques écologiques. Cette fois- ci dans un album plus dense (80 pages), je vais aborder les questions relatives à l'énergie. Au travers d'une idée supposément bonne sur le papier comme le biogaz, Rose Pom va se confronter à toute la complexité de la question de la mondialisation, de l'industrialisation et de ses dérives.
LE FAUSSAIRE
Projet de roman graphique de 150 pages en couleur directe (Ecoline) avec le célèbre scénariste Matz et Stéphane Landowski, auteur de théâtre et scénariste/historien, sur une page méconnue de l'histoire de la guerre de 39-45. La création, initiée par la directrice du Jeu de Paume et en collaboration avec la résistance, d'un réseau de faussaires, dans le but de préserver le patrimoine culturel des musées parisiens. L'idée étant de lancer les allemands sur la piste des faux tableaux aficn de gagner du temps pour cacher les véritables oeuvres.